64 ans de retard!

Les formules de travail flexibles, solution avantageuse pour les employeurs autant que pour les travailleurs…  telle est la conclusion d’une ancienne étude de la Commission européenne!

Si « nouveau monde du travail » désigne une multitude de nouvelles pratiques de management (par objectifs, par projets, des connaissances…) et de formes organisationnelles (réseaux, équipes virtuelles et autonomes, etc.), qui se combinent entre elles et qui reposent en partie sur les nouveaux usages des technologies de l’infor­mation et de la communication, alors la Commission est rentrée de plein pied dans ce nouveau monde.

Mais au lieu d’accompagner ces mutations technologiques et sociétales, la Com­mission a 64 ans de retard ! En, effet, c’est en 1950 que George Orwell a publié son célèbre roman « 1984 », alors roman d’anticipation et de sciences fiction. Or la Commission veut mettre en place, en 2014, un nouveau système de contrôle du temps de travail, incompatible avec les nouvelles formes de travail qui nécessitent plus de flexibilité.

Résultat des courses… contre la montre : WATCH YOUR WATCH !

Face aux nouvelles exigences de contrôle sur le temps de travail qu’impose la Commission et que les direc­tions générales sont en train de mettre en œuvre,  et qui présente une atteinte au principe de confiance et de responsabilitéR&D revendique plus de FLEXIBILITE et demande à la Commission de s’engager dans unenégociation immédiate, notamment sur:

  • Réduction  de la plage des core-hours et élimination des core-hours le vendredi après-midi, à l’instar des autres institutions; 
  •  Augmentation du plafond heures Flexi-time qui peuvent être accumulées comme au Conseil, Cour des comptes etc…
  • Augmentation du nombre d’heures enregistrées (missions, temps partiels…)
  • Révision des pauses obligatoires (déjeuner…)
  • Enregistrement des heures prestées pendant le week-end

 

R&D vous explique dans le document joint les détails de ce dossier.