Une véritable politique annuelle de concours internes
Il est primordiale de mettre en place, en étroite collaboration avec la représentation du personnel, une véritable politique de concours internes annuels garantissant la transparence et l’équité de la procédure, mettant l’accent sur les compétences des collègues, offrant des possibilités concrètes et équitables de titularisation aux collègues AC et AT et permettant également une réelle évolution de carrière pour les collègues AST-SC, AST ainsi que les collègues AD recrutés après 2004 et de prendre, enfin, en compte le niveau des tâches réelles des collègues.
Une véritable politique de concours internes annuels est également la seule solution viable pour prendre en compte les préoccupations de nos collègues recrutés après 2004 et 2014.
Le « Junior Professional programme » doit être totalement transparent et pleinement accessible aux AST, AST-SC et AC, tous grades confondus, avec une procédure et des critères de sélection non discriminatoires tout en augmentant considérablement la limite actuelle de 3 ans pour l’expérience professionnelle (le personnel AST, AST-SC et AC a plus de 3 ans d’expérience professionnelle) dans l’éventualité de créer un nouveau programme professionnel réservé à des candidats plus expérimentés.
La nécessité d’assurer un équilibre géographique est une question d’équité qui ne peut, en aucun cas, être utilisée pour porter atteinte à l’équité et à la transparence des procédures de recrutement et de nomination.
L’éthique n’est pas un slogan vide
Les concours internes et les procédures de nomination, notamment ceux organisés à la fin du mandat de chaque Commission, servant de «parachutage» pour les collègues dans les cabinets, doivent être arrêtés une bonne fois pour toutes.
Les publications externes des postes d’encadrement ne doivent pas encourager le copinage et le népotisme: trop souvent, le lauréat est connu avant le lancement de la procédure et, parfois, le «candidat externe» travaille déjà à la Commission…